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FRELON ASIATIQUE ou FRELON à PATTES JAUNES
(Vespa velutina)
!
- (Hyménoptère
Vespidae)
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- Intro
!
-
- Les médias s'en faisant
régulièrement l'écho, une page entomo
s'imposait ... encore fallait-il que la bestiole se manifeste
par chez moi ! C'est chose faite depuis peu, et pour tout dire
depuis début octobre 2011, date des toutes premières
observations sur ma commune, "sise" en nord Loire, non loin de
Nantes
(1)
-
- Compte tenu du caractère tardif
de cette découverte, et d'une saison touchant à sa
fin au pays des frelons, la présente page entomo avait
toutes les chances de rester très incomplète.
C'était sans compter sur une météo
extraordinairement clémente, mais aussi sur la
rusticité de la bestiole, et plus encore sur une aide pour
le moins providentielle. Bien entendu, il reste à faire,
mais l'essentiel est dit, du moins au plan strictement
entomologique, puisque tel est le but de mes "pages
entomo".
-
- (1)
- Selon la FDGDON
(Fédération départementale des groupements de
défense contre les organismes nuisibles), 7 nids ont
été recensés en Loire-Atlantique en 2010, et
90 le sont déjà pour 2011 (Ouest-France du 11
Novembre 2011)
-
- Historique ... en bref
!
Depuis sa découverte en France, le
frelon asiatique, alias le "frelon à pattes jaunes", a fait
couler beaucoup d'encre, et c'est peu dire. De ce fait je risque
fort d'enfoncer des portes ouvertes à
répétition, mais cela a l'avantage de limiter les
âneries ... ou de les partager ! Par ailleurs j'entends bien
apporter la touche perso et le vécu qui font
l'intérêt de mes "pages entomo" ... et semble-t-il
leur succès ! ... en toute modestie comme il se doit
!
Selon l'article initial faisant état de cette
découverte
(2), la bestiole
nous serait arrivée accidentellement, via des poteries pour
bonzaïs importées de Chine (région de
Shanghai). Une ou plusieurs "reines" hivernantes y avaient
trouvé refuge, et en toute logique les premiers nids (2)
ont été découverts par l'importateur
lui-même, près de Tonneins, en Aquitaine, au cours de
l'hiver 2004-2005. Compte tenu de la saison ces nids
étaient bien sûr abandonnés, mais à
l'entendre notre importateur avait déjà vu
tournicoter ce genre de bestioles dès le printemps.
Dans le même esprit, je ferais état de l'important
travail de synthèse paru en 2011
(3), lequel
traite de la biologie de ce frelon, mais aussi de l'étendue
de sa progression (actuelle et prévisible), de son impact
environnemental et apicole, de sa dangerosité, des moyens
de lutte, et de bien d'autres choses encore.
(2)
- Haxaire J., Bouguet J.-P., TamisierJ.-P., 2006. Vespa
velutina Lepeletier,1836, une redoutable nouveauté pour
la faune française (Hym., Vespidae). Bulletin de la
Société entomologique de France, 111,
194.
- (3)
- Bilan des travaux (MNHN et IRBI) sur l'invasion en France de
Vespa velutina, le frelon asiatique prédateur d'abeilles
(Claire Villemant, Franck Muller, Sandy Haubois, Adrien Perrard,
E. Darrouzet, Quentin Rome).
-
- Reconnaître et
différencier !
-
-
- l'asiatique ! ...
.............
... l'européen !
- Là ou l'européen atteint
les 35 mm (18-35mm), l'asiatique, sensiblement plus petit
n'excède pas 30 mm (reines),
mais la principale et plus visible
différence s'observe au niveau de la coloration abdominale,
avec très nette dominance jaune chez l'européen, et
noire chez l'asiatique. A cela s'ajoute la coloration des pattes,
brun rougeâtre chez notre frelon, et franchement jaune chez
l'asiatique ... d'où le nom de "frelon à pattes
jaunes" qui lui est parfois donné ... CQFD !
-
-
- l'européen (Vespa crabro)
!
l'asiatique (Vespa velutina) !
- ... et "pour les nuls"
!
- Nota: cette photo faisant l'objet
de multiples "emprunts" non autorisés ( de plus,
très souvent avec suppression du copyright ! ), je rappelle
qu'il s'agit d'un "délit" (au sens juridique du terme)
assimilable à une contrefaçon, et comme tel passible
de sanctions.. Sous la forme d'une sorte de "circulaire à
faire suivre", une incitation au piégeage (bouteilles
plastique avec appât liquide) est également
illustrée par un piratage de cette photo. Il s'ensuit une
aggravation des faits dans la mesure où je ne peux
cautionner ce piégage car il pose plus de problèmes
qu'il n'en résout. A toutes fins utiles je rappelle aux
intéressés que ma fille Evelyne Moreau est
créatrice du site web "Savoir
être net", et de plus
auteure de l'ouvrage intitulé "les droits d'auteur" (ISBN:
978-2-911256-51-6).
-
- Pour preuve :
ce
lien
témoigne de
324
reprises de cette photo, la plupart du temps (et c'est peu dire !
) non autorisées et sans mention de la
source.
- .... et pour comble
l'original
insectes-net.fr
n'apparaît même pas !
-
- Biologie
Très schématiquement, la biologie du frelon aux
yeux bridés ( si je puis dire ! ) est globalement
comparable à celle de notre espèce indigène.
photo e chez tous les Vespidae le nid se
vide aux premiers froids, et les femelles survivantes
(qualifiées de "reines" ou de "fondatrices") vont hiverner
dans un arbre creux, un tas de bois, un coin de bâtisse, ou
encore sous les mousses par exemple.
Au printemps ces fondatrices vont se
réactiver et entreprendre la création d'un nid
(guère plus gros qu'une balle de ping-pong) comportant
quelques cellules abritant de futures ouvrières. A leur
émergence, ces dernières prendront alors la
relève pour la confection du nid et les soins aux larves,
la "reine" se contentant de pondre ... et le nid de grossir au
prorata de ses occupants ! Vous noterez enfin que les nids des
Vespidae (et donc des guêpes et frelons), ne sont jamais
réutilisés d'une année sur
l'autre.
Mâles et femelles reproductrices
apparaissent à l'automne, autrement dit en fin de saison,
et le nombre des reines ( = femelles fécondées ! )
en devenir est à l'origine conséquent, car de
l'ordre de 10 %. Fort heureusement les aléas du
"métier de frelon", à commencer par la concurrence
entre reines, font qu'il y a peu d'élues à
l'arrivée ... et donc de nouveaux nids !
-
- Quid de la cohabitation
....
Il est probablement trop tôt pour définir avec
certitude si l'actuelle cohabitation entre les frelons
européens ( "bien de chez nous" ! ), et les asiatiques,
donnera lieu à d'éventuelles compétitions,
voire à des évictions. Certes, les photos ci-dessous
tendent à accréditer la possibilité d'une
cohabitation pacifique, mais les "frictions" ne sont pas exclues,
comme
cette vidéo le montre.
A la lumière de cet exemple, et d'observations
comparables, vous noterez l'agressivité quelque peu
"contenue" de l'européen vis à vis de son cousin
asiatique. Vous noterez également la piètre
combativité de ce dernier, voire sa passivité, car
il semble plus enclin à ignorer qu'à provoquer, et
plus prompt à s'esquiver qu'à en découdre.
Pour résumer je dirais qu'il y a tolérance de la
part de l'européen, l'asiate se faisant "houspiller" si
besoin est, voire prié de dégager manu militari ...
mais comme vous le verrez là n'est pas la règle ...
si règle il y a !
Cela dit, la fulgurance de l'invasion "asiatique" (39
départements déjà touchés en 2010), la
densité des nids recensés (440 en Gironde en 2009 ),
et l'importance des colonies ( 6000 individus en moyenne par nid
et par saison ... mais jusqu'à 15000 pour les très
gros nids ! ) génèrent cependant une réelle
suspicion à l'égard d'un envahisseur manifestement
"promis à un bel avenir". Sa biologie lui permet en effet
de s'étendre très au-delà de nos
frontières, ce qui est déjà chose faite pour
l'Espagne, avec la "colonisation" du Pays Basque espagnol, et de
la Navarre.
-
-
- Ce genre de voisinage n'est pas
rare, et se passe bien la plupart du temps.
- De brèves "escarmouches"
sont toutefois possibles quand les 2 espèces sont à
la limite du contact.
- Elles sont toujours à
l'initiative de l'européen, plus réactif que
l'asiate, mais a priori il n'y a pas volonté de
tuer.
-
- Par-delà ses nettes propensions butineuses et
frugivores, le frelon asiatique s'attaque à de nombreux
insectes, essentiellement en vue de nourrir ses larves, mais son
goût immodéré pour les abeilles domestiques le
démarque nettement de notre frelon, au régime
alimentaire par ailleurs très comparable. En dépit
de méfaits parfois très spectaculaires, mais le plus
souvent ponctuels, il convient semble-t-il de quelque peu
relativiser la nuisibilité de ce frelon, comme l'extrait
ci-après en témoigne.
-
- "Bien que le Varroa, les maladies virales ou les pesticides
constituent des menaces beaucoup plus importantes pour
l'apiculture européenne (Ellis et al, 2010), le frelon
asiatique apparaît comme un facteur supplémentaire de
déclin des colonies d'abeilles déjà
fragilisées (Jourdain 2010)."
-
- butinages floraux
....
... sur camélia d'hiver !
- Comme tous les insectes
floricoles, le frelon asiatique butine et pollinise
!
- Le problème c'est qu'il a
fâcheusement tendance à croquer la concurrence, et
notamment les abeilles !
-
- Sachez enfin que le frelon asiatique ne semble pas
attiré par la lumière, contrairement à
l'européen qui l'est fortement, et sème souvent la
panique quand il s'invite chez vous sans crier gare. Le moment
venu mon piège à papillons nocturnes devrait me
permettre d'en avoir le coeur net, d'autant que le frelon "bien de
chez nous" s'y fait prendre quotidiennement, parfois par
dizaines.
-
- Au passage vous noterez qu'en période
ensoleillée les captifs ne tiennent pas la journée,
et souvent beaucoup moins, tant ils sont vulnérables
à l'élévation de la température, et
plus exactement à la déshydratation. Chez l'asiate
le seuil létal est également très vite
atteint, d'où le peu banal moyen de défense des
abeilles chinoises qui trucident l'assaillant par hyperthermie. A
cet effet elles s'agglutinent autour de l'intrus, ailes vibrantes,
voire vrombissantes, de façon à faire monter la
température du captif ... jusqu'au point de non retour !
... CQFD !
-
- Non sans logique, le frelon asiatique m'apparaît moins
sensible à la météo que son homologue
européen, ce dernier désertant mes appâts par
temps "mitigé". Dans le même esprit la retraite
hivernale de l'asiate serait très sommaire, d'où des
sorties exploratoires et "dinatoires" par temps clément.
Comme dirait St Thomas, j'attends de voir, mais les observations
ci-dessous apportent déjà un début de
réponse. Je pense en effet que l'hivernage de l'asiate est
simplement plus court, car sans doute précédé
et suivi d'une période de semi activité, directement
tributaire de la météo. L'arrêt total de toute
activité est par ailleurs avéré, car lors de
chasses hivernales aux carabes, j'ai toujours trouvé les 2
frelons dans des gîtes tout à fait comparables, et
nullement "sommaires".
-
- Cette photo, et
la vidéo
associée, datent de
l'après midi du 21 Novembre 2011, et la
fréquentation du vieux miel cristallisé
témoigne à l'évidence d'une douceur
très inhabituelle pour la saison (et accessoirement d'une
mixité abeilles / frelons pour l'heure pacifique). Par
contre à 8 h 30 du matin, et par 7°5 de
température extérieure, il n'y avait pas une seule
abeille, ni la moindre mouche ... mais à ma grande surprise
deux frelons asiatiques "petit-déjeunaient"
déjà ! L'un d'eux s'est même envolé
"franco" à mon approche, alors que chez la plupart des
insectes l'engourdissement se fait déjà nettement
sentir dès que la température passe en dessous de la
dizaine de degrés. Dans le même esprit, il a fallu
attendre la nuit quasi tombante pour que le dernier des asiates
daigne regagner ses pénates, et là encore ce n'est
pas banal. Vous remarquerez également l'absence de frelons
européens et de guêpes, sans doute entrés en
hivernation.
-
- Pour finir, sachez que le dernier frelon
venu visiter mes appâts a été observé
le 2 décembre 2011, ce qui est déjà
très tardif ... et pouvait l'être encore plus !
(*)
... mais c'était sans compter sur le "traitement" du
nid (situé à moins de 500 mètres) quelques
jours plus tôt.
................(*)
fait confirmé par Michel Faucheux, entomologiste nantais,
qui a observé ce frelon à butiner sur un
néflier du japon ... et c'était les 17 et 18
Décembre 2013.
-
-
-
- Bien que fort peu flatteuses
pour l'odorat humain, les effluves des fleurs de lierre sont
très attractives et prisées par de très
nombreux insectes.
- Mouches en tous genres, guêpes,
abeilles, papillons (entre autres convives), s'y côtoient
dans une apparente et bourdonnante convivialité, et c'est
également valable pour les frelons asiatiques et
européens. Je ne saurais dire s'il s'agit d'une forme de
statu quo, d'une sorte de pacte tacite de non agression, ou de la
trêve du déjeuner .... mais le fait est !
-
-
-
- Frelons asiatiques sur "coupe de
fruit".
- dernière à
droite: frelon européen curieusement "encerclé"
.... mais à respectueuse distance ! ... des fois que
!
- Comme vous pouvez le voir, les fruits
sont non moins appréciés, qu'ils soient à
maturité ou "avancés", tombés ou non.
Attention bien sûr aux fruits
tombés, car par-delà les kyrielles de mouches venues
y festoyer, il se trouve toujours des
guêpes et frelons qui comme vous et moi n'aiment pas
être dérangés au milieu de leur repas
!
-
- ... vous avez dit
"broyeur- lécheur"
Comme tous les Vespidae (entre autres) le
frelon asiatique est du type "broyeur-lécheur", d'où
la présence conjointe de mandibules aptes à broyer,
et d'une langue apte à lécher ... comme dirait Mr de
La Palisse !
-
-
- au centre: tête
"recto / verso"
- à gauche: faces
internes des mandibules ... et externes à droite
!
- Vous noterez la puissance de ces
mandibules, bien faites pour tailler dans le vif d'un sujet
...
- ... trop souvent apiforme
!
-
-
-
- au centre:
ensemble de la tête, vue de dessous.
- à gauche et à
droite: détail des appendices buccaux: mandibules,
palpes maxillaires et labiaux ...
- et la très curieuse
"langue" en position médiane
- Les nids !
Les nids des Vespidae (et donc des
guêpes et frelons), sont constitués d'une sorte de
pâte à papier, issue du "mâchouillage" de
particules de bois et d'écorces enduites de salive.
Très fréquemment les ouvrières
collectent, triturent, et mettent en oeuvre des bois de diverses
origines et natures. L'extérieur du nid prend alors un
aspect typiquement et joliment écailleux, où les
teintes empruntent aux diverses nuances de gris et peuvent aller
du beige clair au brun roussâtre plus ou moins foncé.
Comme vous le verrez sur la page suivante, l'enveloppe
extérieure du nid est "multicouches" ce qui assure une
bonne isolation thermique du nid, et cela sur le principe
même de notre "double-vitrage". J'ajouterais que l'enveloppe
est de plus "hydrofugée", et donc conçue pour
résister à la pluie ... CQFD !
-
-
- Aspect typiquement "écailleux" de
l'enveloppe d'un nid de frelons. Les teintes s'y
échelonnent du beige au grisâtre et au brun
foncé, mais une ouvrière peut parfois faire preuve
de "fantaisie" ( ou de déviance ! ) en collectant comme ici
du lichen, d'où la présence de surprenants
liserés verts ! à droite: vous remarquerez
les fragments dudit lichen, et l'assemblage des particules de
bois.
-
- Les "feuilles" constituant l'enveloppe
multicouches sont particulièrement minces (4/10 de mm) et
fragiles, mais paradoxalement le nid résiste fort bien aux
intempéries. Pour les
réaliser les ouvrières s'y installent le plus
souvent à "califourchon", comme cette reconstitution le
montre. Chacune mettant en oeuvre sa propre collecte, il en
résulte un véritable patchwork témoignant de
la diversité des bois utilisés.
-
- Contrairement à ceux du frelon
européen, les nids de l'asiatique sont le plus souvent (3/4
des cas) "arboricoles" et très aériens, comme
ci-dessous. Dès lors il est bien difficile d'intervenir, et
même de simplement repérer les nids au sein des
frondaisons, qu'elles soient persistantes ou caduques. Dans ce
dernier cas la chute des feuilles favorise évidemment leur
découverte (re-ci-dessous) mais il est
généralement trop tard, les nids étant
désertés ou en passe de l'être. Comme pour le
frelon européen, il peut se trouver des nids à
"basse altitude" ( et à l'occasion sous votre préau
ou dans votre garage ! ), mais en outre le frelon asiatique a la
particularité de pouvoir nidifier très près
du sol, voire à son niveau ( comme illustré au bas
de cette page ! ), mais cela reste assez exceptionnel.
-
-
- De belle taille, et pour le
moins haut perchés ! ... merci la chute des feuilles
!
- Exemples de nids aériens,
option comptant parmi les plus fréquentes, voire la plus
fréquente.
- (ci-dessus sur aulne, ci-dessous
sur chêne)
-
-
-
-
-
- "Déposé"
mi-décembre, ce nid est déjà
conséquent (90 cm x 60cm) ... mais il y a encore mieux
!
- A l'origine il partait de l'enfourchure
de la branche (flèche) mais il a été
très abimé (abandon prolongé après
neutralisation, très forte tempête, grêle, et
sans doute oiseaux en quête de nourriture).
"Prisonnières" des alvéoles, et dodues à
souhait, les larves d'un nid naturellement abandonné sont
en effet un met de choix pour les oiseaux insectivores, mais ces
mêmes larves peuvent s'avérer mortelles quand un nid
traité aux insecticides est laissé en
place.
-
-
- Détails du nid
"maous-balèze" ci-dessus
présenté.
- à gauche: pour un
nid très tardivement traité (23 Novembre) ces
"galettes" sont encore bien "garnies";
- au centre et à
droite: détail des galettes, et des "piliers" qui
assurent le soutènement, l'écartement, et la
cohésion des galettes.
-
- .... et au ras des
pâquerettes !
-
-
- ci-dessus: dans un
roncier, à 20 cm du sol, et de la taille d'un ballon de
foot, telle se présentait cette peu banale nichées
d'asiatiques.
- ci-dessous: compte tenu de la
saison (début Novembre), et donc d'un nid quasi
dépeuplé car en fin de vie, la neutralisation par le
feu a été grandement facilitée, et sans
véritables risques pour "l'incendiaire" et les spectateurs
dont j'étais. Est-il besoin de le préciser, ce genre
d'intervention ne s'improvise pas, et sur nid en pleine
activité la plus grande prudence s'impose.
-
-
-
-
- les pages entomologiques d'
andré lequet
:
http://www.insectes-net.fr
-