Considérant qu'entre-temps la bête avait à l'évidence poursuivi et finalisé son ouvrage, je me suis contenté de prendre acte, d'où ce très tardif ..."rattrapage" ! Contrairement à la logique, et comme les photos ci-dessous s'efforcent de le démontrer, la forme tubulaire du mât aérifère n'est pas obtenue par tissage circulaire, mais par l'enroulement "bord à bord" de la lame soyeuse. Bien entendu cet enroulement résulte à l'évidence d'un processus "physico-chimique", sans doute induit par la conjonction de divers facteurs (disposition du tissage, propriétés de la soie, réaction au contact de l'air ou de l'hygrométrie ambiante).