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Vespidae)
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-
- Le développement
!
-
- Chaque alvéole reçoit un oeuf, lequel donnera
une larvule, puis une larve apode qui finira par totalement
"remplir" la cellule. Au terme de sa croissance, la larve va user
de glandes séricigènes pour tisser un opercule
hémisphérique, lequel viendra chapeauter la cellule
(ci-dessous). La larve se transformera ensuite en nymphe, puis
ultérieurement en insecte dit parfait, à l'occasoin
d'une mue qualifiée d'imaginale. Après un temps de
maturation , le jeune adulte ou imago va perforer l'opercule,
s'extraire de sa logette, et mener la vie qui lui est
dévolue au sein de la colonie.
-
-
-
- larves à divers stades,
et cellules operculées
-
-
- Les larves sont nourries "à la becquée" par les
ouvrières, lesquelles régurgitent un broyat
d'insectes, agrémenté pour certaines espèces
de produits sucrés, issus de fruits par exemple. A noter
que les larves peuvent en quelque sorte "rentrer la tête
dans les épaules", ce qui génère un repli
sous-jacent, sorte de réceptacle où la
becquée pourra trouver place le temps d'être
entièrement consommée.
-
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-
- de gauche à droite:
oeufs; panel de larves à divers stades de
développement; larve à terme
-
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-
-
- de gauche à
droite: tête de larve; mise en évidence du
"réceptacle à becquées"; jeune
nymphe.
-
-
-
- à gauche: nymphe
à "mi-parcours" de sa maturation; à droite:
nymphe à terme
-
-
- L'aiguillon
!
-
- Comme chez tout insecte doté d'un
aiguillon, ce dernier est en relation avec une glande à
venin, et la principale caractéristique de celui des
Vespidae (et donc des guêpes et frelons) est d'être
lisse (ci-dessous). Il s'ensuit que le "dard" ne reste pas dans
les chairs, et que ces insectes peuvent piquer et repiquer
à volonté. Pour un prédateur c'est d'ailleurs
la moindre des choses, puisque l'aiguillon est évidemment
utilisé à l'encontre des proies quelque peu
récalcitrantes.
-
-
-
- aiguillon de frelon (Vespa
crabro), in situ, et isolé
-
- A l'inverse l'aiguillon des abeilles,
insectes non prédateurs, est en quelque sorte dévolu
à la seule défense des intérêts de la
colonie. Sa structure "barbelée", à l'image d'un
harpon, fait qu'il reste fiché dans la victime,
entraînant à sa suite la glande à venin, et
plus encore à l'occasion. Il s'ensuit que l'abeille ne peut
évidemment piquer plus d'une fois, et surtout que cette
mutilation la condamne à brève
échéance. A noter au passage qu'en extirpant un
aiguillon d'abeille, il faut veiller à ne pas
écraser la glande à venin, ce qui aurait pour effet
d'en injecter encore plus. Concrètement la pince à
épiler est à proscrire, le mieux étant de
"racler" l'aiguillon, par exemple avec le tranchant d'une lame de
couteau, cette dernière étant tenue
perpendiculairement à la peau.
-
- ..............
- à gauche: aiguillon
d'abeille domestique (Apis mellifica) vu en microscopie
électronique à balayage.
Remarquer les "barbules" (flèches)
qui sur le principe du harpon s'opposent à son retrait;
à droite: de la théorie à la pratique
... mon doigt faisant les frais de la démonstration !
L'aiguillon et la glande à venin associée restant
dans la "victime", l'abeille s'en trouve étripée
lors de son envol ... et bien sûr condamnée ! Si
besoin était vous noterez que Dame Nature a inventé
le harpon bien avant ... que nous l'inventions !
-
- .... et une
vrombissante parenthèse apicole !
- Aux dires de lapiculteur venu le
récupérer, ce genre dessaim comporte environ
20.000 bestioles, soit la moitié dune ruche
qualifiée de «moyenne». Pour mémoire
lessaimage résulte en quelque sorte du
dédoublement dune ruche devenue trop "populeuse".
Concrètement la reine en titre part avec sa cohorte
douvrières (formant ainsi un "essaim") afin de fonder
une nouvelle colonie (dans un arbre creux par exemple)
une
jeune reine prenant alors la relève au sein du
rucher;
-
-
- Cet essaim dabeilles (Apis
mellifera = Apis mellifica) a eu la bonne idée de venir se
poser à deux pas de chez moi, et comme vous le voyez
«à portée de main», expression on ne peut
plus de circonstance ...et de plus parfaitement
illustrée par cette
vidéo (mettez le son !
). Bien quelle sorte de lordinaire, et que la
montée dadrénaline soit garantie, ce genre de
vidéo est rendu possible par la non agressivité des
abeilles « essaimantes » ... mais la prudence reste
néanmoins de règle !
- ci-dessous à droite: alors
que je venais de les "manipuler" sans problème, et sans la
moindre réaction défensive, les directives de
l'apiculteur n'ont pas été du goût des
bestioles, et je me suis retrouvé avec une vingtaine de
piqûres au niveau de l'avant-bras ... et ça se voit !
-
...........
-
-
- Bon à savoir
!
-
- 1)- prévoir
!
-
- - La période estivale est
éminemment favorable aux insectes indésirables,
à commencer par les mouches et moustiques. Les guêpes
ou frelons pouvant également jouer les importuns, mieux
vaut donc se prémunir, mais pour autant il n'est pas
question de "bomber" n'importe quoi, n'importe comment, et surtout
pas avec n'importe quoi. En conséquence
préférez les marques et produits connus, respectez
à la lettre le mode d'emploi, et faites-en bon
usage....c'est-à-dire le moins possible !
-
- 2)- le cas des frelons
!
-
- - Contrairement à une idée
reçue, et sauf a être allergique, la piqûre du
frelon n'est pas plus dangereuse, ni plus douloureuse, que celle
des guêpes. Je dirais avoir eu l'occasion de tester, que ce
soit involontairement, ou en "tentant le diable" comme ci-dessous.
Cela dit l'impact psychologique joue censément un
rôle important, la taille de l'insecte ajoutant à la
perception de l'agression et au ressenti de la douleur.
-
-
-
-
- Allergiques s'abstenir, car à ce
petit jeu on "gagne" plus souvent qu'au loto....même si ces
bestioles (prisonnières de mon piège lumineux),
étaient quelque peu engourdies par la fraîcheur
nocturne. Au final et vous l'aurez compris, la piqûre du
frelon reste "acceptable", mais pour autant ne vous croyez pas
obligé de le vérifier, ni surtout d'aller
farfouiller dans un nid, car à coup sûr il vous en
cuirait .... et c'est peu dire!
-
-
-
-
- - A noter qu'une croyance très
répandue voudrait que 6 frelons puissent tuer un cheval, 3
un homme, et 2 un enfant. Bien entendu il n'en est rien. Reste que
les frelons ont été utilisés comme arme de
guerre dans l'antiquité. Enfermés dans des
récipients de terre cuite, ils étaient
catapultés sur l'ennemi. En se brisant à
l'arrivée, les récipients en question
libéraient évidemment des hordes de bestioles pour
le moins "furibardes", au grand dam d' adversaires peu
préparés à une attaque en quelque sorte
"aérienne".
-
- - Contrairement aux guêpes les
frelons sont fréquemment attirés par la
lumière, et si un nid est installé dans les environs
de votre habitation vous aurez fatalement de la visite. Dans tous
les cas la règle d'or est de ne pas vous s'affoler, et
surtout de ne pas affoler une bestiole qui par nature n'est pas
agressive, mais pourrait le devenir si vous faites n'importe quoi.
-
- - Si l'insecte est entré dans une
pièce ne cherchez pas à l'en faire sortir manu
militari, car il pourrait ne pas apprécier. Allumez vos
éclairages extérieurs, éteigniez la
pièce concernée, et l'insecte repartira bien souvent
comme il est venu, c.a.d. attiré par la lumière...
cette fois extérieure. Si vous préférez la
manière forte, et avez une bombe insecticide
appropriée, laissez la bête se poser, et se calmer,
avant de la "fusiller" à coup sûr, et en quelque
sorte à bout portant.
-
- - Si vous aimez profiter de la
fraîcheur du soir pour dîner au jardin, ou simplement
papoter entre amis autour d'un verre, proscrivez absolument les
éclairages sur pied de parasol, ou tout autre dispositif
placé à vos côtés. En vous arrivant
dessus sans crier gare, la toujours très impressionnante
bestiole sèmerait en effet la panique, ce qui n'est jamais
bon. Préférez les éclairages muraux, et de
préférence hauts placés, ou à
défaut éloignez la source lumineuse.
-
- - Sachez également que le risque
est maximum en fin de saison, les nids ayant fait le plein de
leurs occupants (cela vaut également pour les autres
Vespidae). Sachez encore que le frelon qui vient aux
lumières s'en trouve quelque peu
"décontenancé", ce qui lui enlève beaucoup de
sa réactivité, et vous laisse le temps de "riposter"
à bon escient si vous y êtes contraint.
-
- - Sachez enfin que les frelons sont
protégés en Allemagne, ce qui à
l'évidence témoigne de leur non dangerosité,
même si un minimum de prudence reste évidemment de
règle.
-
- 3)- le cas les guêpes
!
-
- - Toutes les espèces de
guêpes peuvent piquer, mais toutes ne piquent pas. En
d'autres termes il est des espèces agressives, ou plus
exactement réactives, voire très réactives,
et d'autres qui ne le sont pas, ou peu. Schématiquement on
peut dire que les espèces qui nidifient en "aérien"
sont d'autant moins agressives qu'elles ne sont pas
attirées par le "sucré". Autrement dit vous pouvez
avoir un superbe nid de "Dolichovespula media" à 3 m de
votre salon de jardin, et siroter votre apéro en toute
tranquillité.... le plus souvent sans même
soupçonner la présence du guêpier.
-
- - A l'inverse défiez-vous de tout
nid souterrain, et de toutes les guêpes s'invitant à
votre table, ou tournicotant autour des fruits à
maturité, qu'ils soient tombés ou non. Le plus
souvent, pour ne pas dire toujours, il s'agit de la guêpe
commune (Vespula vulgaris), véritablement agressive, ou de
la guêpe germanique (Vespula germanica) qui l'est encore
plus.
-
- - Bien entendu il est toujours des
exceptions, mais un minimum de bon sens et d'observation permet le
plus souvent d'y faire face, et d'opter pour la solution la plus
rationnelle.
-
- 4)- destruction des nids
!
-
- - Dans la majorité des cas elle
ne s'impose pas, sauf s'il s'agit des espèces agressives
précitées (aisément identifiables par leur
comportement et la localisation des nids), ou si le guêpier
squatte votre salle d'eau ou un coin de véranda (ça
arrive!). Le mieux est
évidemment de faire appel à des professionnels,
qu'il s'agisse des pompiers, quand c'est possible, ou
d'entreprises privées. Il faut
en effet savoir que selon les Municipalités les pompiers
interviennent ou pas, et que le service peut être gratuit ou
donner lieu à une "participation".
-
- - Si vous êtes
véritablement contraint
d'intervenir vous-même, je
conseille d'utiliser un soufflet poudreur, et une poudre
insecticide de jardins. Localisez l'entrée du nid si elle
est visible, ou à défaut le chemin d'accès
emprunté par les insectes. La fraîcheur nocturne
ralentissant nettement l'activité (et la
réactivité !) de ces insectes, opérez tard le
soir, ou mieux encore très tôt le matin (au lever du
jour !). Poudrez promptement... et "repliez"-vous de même.
Le problème sera dès lors réglé sous
24 à 48 h, car en se toilettant les insectes vont
ingérer les particules toxiques fatalement
"récoltées" lors de leurs allées et venues,
d'autant que le battement des ailes ajoute à la diffusion
de l'insecticide.
-
- - Ce procédé vaut
évidement pour les insectes actifs au moment du traitement.
En d'autres termes ceux "à naître", et donc encore
enfermés dans leurs alvéoles, ne seront
éliminés qu'au fur et à mesure de leur
sortie, ce qui peut demander un "certain temps" (comme le disait
Fernand Raynaud !), mais ne pose pas de problème
particulier.
-
- - Si le nid est très accessible,
et que vous êtes pressé d'en finir, vous pouvez le
décrocher pour le détruire complètement et
définitivement. Pour cela il faut attendre 3 ou 4 jours
après le traitement et vous assurer que plus rien ne vole.
Une fois décroché, le nid sera brulé ou
enfermé dans un sac de plastique et
généreusement "piétiné". Là
encore il est préférable d'agir "à la
fraîche", même si le risque est quasi nul.
-
- -Au final je dirais que la
méthode a fait ses preuves, mais je dirais aussi que
je décline toute
responsabilité!
-
- 5)- ne jamais oublier
!
-
- - Chez les insectes les
phéromones (sortes de "messages chimiques"), font leur
preuve tous les jours, qu'elles soient par exemple "sexuelles"
pour la recherche du partenaire, ou dites de "pistes" pour le
cheminement des fourmis. Chez les insectes sociaux que sont les
guêpes, cette forme de communication est censément
très élaborée. En d'autres termes il suffit
qu'une guêpe se sente agressée pour qu'elle
émette un "message" propre à déclencher un
branle-bas de combat général, et gare à vous
si vous êtes à proximité du nid.
-
- - Bien entendu les piqûres
multiples résultent toujours de ce type de situation, avec
à l'origine une imprudence le plus souvent
caractérisée (jet de pierres sur le nid, arrosage du
nid, "bombage" inapproprié, etc...). Pour autant le
côté accidentel n'est pas exclu, et certains travaux
peuvent réserver de mauvaises surprises (terrassements,
défrichages, élagages, ou taille de haies, par
exemple).
-
- - N' oubliez pas non plus que les
guêpes ne sont jamais toutes au nid, et même si vous
parvenez à maîtriser les "sortantes", vous risquez
fort d'être pris à revers par les "rentrantes"
!
-
- 6)- en cas de piqûre
!
-
- - Si l'allergie est connue, ou s'il y a
suspicion d'allergie, c'est l'urgence médicale absolue et
sans délais. Idem si la piqûre se produit dans la
gorge, ce qui peut arriver en mangeant un fruit où une
guêpe s'est insinuée. Contrairement à une
idée reçue le phénomène allergique est
principalement traité à l'adrénaline
(injections sous-cutanées) et non à la cortisone. Je
rappelle que ce type d'allergie peut évoluer en
oedème de Quincke avec troubles digestifs, constriction
thoracique, et à terme détresse respiratoire et
circulatoire, d'où la nécessité d'intervenir
rapidement.
-
- - A noter au passage que toute personne
allergique au venin des Hyménoptères devrait
disposer en permanence du matériel nécessaire, ou se
faire désensibiliser puisque c'est possible. A titre
indicatif je signale qu'une dizaine de décès annuels
sont en moyenne répertoriés en France, soit plus que
ceux imputables aux morsures de vipères.
-
- - Si la piqûre est en quelque
sorte "ordinaire", l'application d'un anti-inflammatoire soulage
rapidement. A défaut, le vinaigre en friction locale est
lui aussi bénéfique, tout comme l'eau de Javel qui
en plus désinfecte. Le venin étant par ailleurs
"thermolabile", autrement dit sensible à la chaleur, on
peut utiliser l'extrémité incandescente d'une
cigarette en l'approchant au plus près de la piqûre
durant une bonne minute (mais sans pour autant provoquer une
brûlure!).
-
- - Par ailleurs, et aussi surprenant que
cela puisse paraître, il est des "trucs" et "remèdes
de bonne femme" qui marchent. Pour les piqûres "ordinaires",
il en est un particulièrement utile en pleine campagne. Il
suffit de bien écraser des feuilles de plantain (cf.
ci-dessous), et de frictionner la zone piquée avec la pulpe
obtenue, pour voir la douleur disparaître quasiment dans la
minute.
-
- - J'avoue que je n'y croyais pas,
jusqu'au jour où j'ai été amené
à intervenir ainsi sur une gamine de 5-6 ans. Sous l'effet
de la piqûre elle hurlait littéralement, et deux
minutes après elle jouait comme si de rien n'était.
J'ajouterais qu'à défaut de plantain, il suffit de
pareillement broyer 3 plantes différentes (n'importe
lesquelles), et de les appliquer comme décrit. Ce serait
tout aussi efficace ( voir le témoignage ci-dessous ! ),
mais là je n'ai pas eu l'occasion de personnellement
tester. Enfin je rappelle que l'urine a des
propriétés trop souvent ignorées ...
étant entendu qu'il est plus facile de s'uriner sur la main
que dans l'oreille !
-
- J'ai lu votre page sur les
guèpes. Je l'ai trouvée très
intéressante. Concernant la pratique des 3 herbes avec les
enfants, je peux témoigner de leur efficacité.
Difficile de dire si c'est la "foi" de l'enfant ou le
"remède" qui intervient. En effet cela m'est arrivé
dans une carrière avec mon fils. Pas une feuille de plantin
à portée de vue , je ramasse trois herbes qui
pouvaient pousser dans ce monde minéral. A ma grande
surprise les pleurs s'arrêtent presque tout de suite
...
-
-
-
- à gauche: grand
plantain (Plantago major); à droite: plantain
lancéolé (Plantago lanceolata) ou herbe à 5
côtes.
- Ces 2 espèces sont
très communes partout. Le lancéolé a un port
érigé, le grand plantain est lui est plutôt
étalé.
-
- 7)- un dernier conseil
!
-
- - Si les visites de guêpes et
frelons sont à votre goût trop fréquentes,
vous pouvez "réguler" en douceur, et sans aucun risque, en
jouant sur leur attirance pour les liquides sucrés, et
notamment pour la bière. Ces insectes en raffolent,
à l'instar de nombreux Coléoptères, et
Lépidoptères nocturnes, pour ne citer qu'eux. Le
procédé est certes connu, mais dans le cadre de
cette page je ne pouvais évidemment faire
l'impasse.
-
- - Le piège, puisque c'est de cela
qu'il s'agit, est extrêmement simple et efficace. Il suffit
de couper transversalement une bouteille plastique grand format (
eau minérale 1,5 litre par exemple), à 10 cm en
dessous du goulot, et de remboîter l'entonnoir ainsi
formé dans la partie restante. Après avoir
"chargé" le piège de 5 cm de bière, vous le
posez à l'écart des zones que vous
fréquentez, ou le suspendez dans un arbre ce qui est
préférable quand c'est possible.
-
- Vous l'aurez compris, le piège
fonctionne sur le principe de la nasse, l'insecte pouvant entrer,
mais non ressortir. J'ajouterais qu'il va s'offrir une bonne
"cuite"....avant de finir noyé. Si nécessaire, rien
n'interdit de mettre plusieurs pièges, sachant qu'il faut
les réapprovisionner de temps en temps.
-
-
-
-
- les pages entomologiques d'
andré lequet
:
http://www.insectes-net.fr